Encore Skip The Use ! Le groupe français revient avec une nouvelle chanson vraiment super. Elle est aussi la musique de la pub BNP Paribas Roland-Garros 2013. Nous y sommes en plein dedans, donc je vous partage cette musique. En conclusion, je vous la conseille vivement car le refrain, surtout, est un bijou de conception.

Nico

Cette année au salon de Genève, Volkswagen nous a tous surpris en dévoilant un prototype de série étonnant: le XL1. 
Avec sa silhouette rabaissée et son air de concept car "civilisé", le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'est pas passé pas inaperçu!
Sa particularité? Il consomme moins d'un litre d'essence au cent kilomètres!
Ses ambitions? Changer notre manière de rouler.
Présentation de ce à quoi ressemblera peut être, la voiture de demain!
 
Voici le Volkswagen XL1. Au premier regard, difficile de penser que c'est bel est bien la future version de série qu'on a sous les yeux. 0.9l au 100km et 21g de CO2, comment est-ce possible? Tout d'abord, il faut soigner l'aérodynamisme, ce qui explique la silhouette profilée du XL1. Roue arrière couverte, ligne tout en courbes, hauteur mesurée, jantes plates et même poignées de portes aérodynamiques: rien n'a été laissé au hasard! Le CX (coefficient de pénétration dans l'air) a de ce fait été porté à 0,189. C'est presque trois fois moins que la Megane du voisin et ça permet de diminuer la consommation.
Le look, bien que très ostentatoire, est tout de même agréable à l'oeil. 
 

La partie arrière du XL1 est elle aussi très axée sur le dynamisme des lignes, la carrosserie "fastback" du type Porsche 911 (même si les deux engins ne sont pas comparable!) améliore le CX, mais nuis à la visibilité arrière. Le XL1 est motorisé par une technologie Plug-in Hybride. Je m'explique, un bloc diesel bicylindre de 48ch est additionné à un moteur électrique de 27ch. Avec 795 kg sur la balance, c'est largement suffisant. Le XL1 atteint même 160 km/h en vitesse de pointe.
 

Qui dit essai dit habitacle, NS-T a eu le privilège de pouvoir monter à bord de l'engin. Pour y accéder, il faut soulever la porte en élytre, puis s'installer dans de confortable sièges enveloppants situés à ras du sol. Une fois à l'intérieur, agréable surprise, l'habitacle est plutôt accueillant. Épuré, il est néanmoins très bien construit et répond parfaitement au besoin de l'automobiliste lambda. Pas de doutes, on est bien dans une version de série. 
 

Autre particularité du XL1, il possède des caméras de rétrovision à la place des traditionnels rétroviseurs. Déconcertant..
 
 
 En bref, le XL1 est un peu un concentré d'avenir. Léger, aérodynamique et peu puissant, il abaisse ainsi la consommation à un niveau record. Merveille de technologie, le XL1 confirme l'intention de Volkswagen à développer des modèles toujours plus respectueux de l'environnement.
Le XL1 ne répond malheureusement pas au besoin des familles ou des couples à cause de son coffre minuscule et son habitabilité limité. Malgré tout, c'est un vrai progrès. La commercialisation du XL1 est prévue mais aucune date n'est encore annoncée.
 
article et photos Hugo.G
 
 

C'est une énorme surprise ! Lille ne sera pas européen la saison prochaine. Payant leur mauvais début de saison, les dogues disputeront une saison tranquille l'an prochain, loin du tumulte européen. Nice, 4ème, et c'est une surprise aussi, rejoint Saint-Etienne en Europa League, tandis que Lyon disputera les barrages de la C1.

Béria consterné après le nul face à Saint-Etienne, qui prive Lille d'Europe. A Ajaccio, les niçois, heureux, fêtent leur qualification méritée pour la C3.

Lille-Saint-Etienne (1-1): des regrets ? Et comment !

Les visages en disaient long, hier soir, après le coup de sifflet final. Tandis que les verts, assurés d'être européens après leur victoire en finale de la Coupe de la Ligue, se félicitaient de cette cinquième place, les nordistes, eux, étaient dépités. Mais est-elle méritée, cette sixième place ? Peut-être que oui, après un match où ils n'auront pas su faire la différence, même à onze contre dix, après l'exclusion sévère de Guilavogui. La première période est totalement à leur avantage avec dix tirs contre zéro. A la 42ème minute de jeu, Payet délivre une transversale splendide pour Rodelin qui remise parfaitement pour Kalou, l'homme du renouveau lillois en cette fin de saison, qui conclut l'action en ouvrant la marque. A la pause, Lille est quatrième et doit tenir son avance. Mais les stéphanois repartent avec de meilleurs intentions. Malgré le manque de précision de Brandao, ils vont trouver la faille à l'heure de jeu. Ghoulam est servi d'une passe lumineuse par Perrin. Son contrôle est bon et lui permet de se débarrasser de son vis-à-vis. Il délivre un amour de passe à Hamouma qui ouvre son pied de manière remarquable pour tromper Mouko, battu. Après cette belle action collective, les foréziens retombent peu à peu dans leurs travers et laissent l'adversaire jouer. Mais en défense, ils sont intraitables. Lille obtient peu d'occasions et pense marquer un but dans les dernières minutes, refusé à Nolan Roux à juste titre, Béria étant en position de hors-jeu tout comme De Melo.

Oui, Lille va vivre une intersaison compliquée entre remise des choses au clair, départs, arrivées. Mais le budget, sans l'Europe, va bien diminuer, et l'attractivité du LOSC, baisser. Si Thauvin a déjà signé son contrat en janvier, Chedjou est sur le départ pour Galatasaray et les questions fusent autour de Digne alors que Rudi Garcia est partant. Oui, Lille n'est pas le perdant de cette dernière journée, il est celui de la saison.

Nice en C3, chef-d'oeuvre de Grenier.

Ils étaient sur la pelouse de François-Coty, en attendant la fin du match entre Lille et l'ASSE. Et à l'annonce de la bonne nouvelle, les Aiglons ont explosé de joie. Il faut dire qu'ils ont fait le boulot à Ajaccio. Grâce à des buts de Cvitannich et Bauthéac en seconde période, l'OGCN signe une victoire historique, et se qualifie pour la Ligue Europa, 19 ans après avoir quitté l'Europe. En Corse, les niçois ont souffert et n'ont pas du tout dominé. Mais leur efficacité chirurgicale leur a permis d'accrocher le bon wagon, et d'illustrer le dicton: "dominer n'est pas gagner".

A Lyon, séquence émotion lors de la sortie de Lisandro Lopez, montrant bien que l'argentin risque grandement de partir. Réveillère remerciait le public après 400 matches disputés sous le maillot lyonnais, nous prouvant que son départ était imminent. Pour Grenier, la piste Arsenal est enclenchée. Mais cela ne l'a pas empêché de réaliser un chef-d'oeuvre, une semaine après son coup franc à Nice. Et face à Rennes, action similaire. Coup de pied arrêté aux trente mètres, et frappe dans la lucarne avec l'aide de la barre transversale cette fois-ci. Le nouveau Juninho est peut-être là. Oui, mais il pourrait partir outre-manche. Le premier but a été inscrit par Lisandro sur penalty. Son 82ème et sans doute dernier but avec l'OL.

Encore une fin de saison palpitante où rien n'était joué. Lille perd très gros avec cette sixième place qui ne l'envoie dans aucune Coupe d'Europe. Lyon devra passer deux tours pour rejoindre les phases de poules de la C1, tandis que le Gym et Sainté sont en C3. L'été va être bouillonnant pour ces trois derniers.

Nico

Dans cette dernière journée, Troyes est officiellement relégué. Les aubois y ont cru pendant une bonne partie de la rencontre, mais se sont écroulés, rejoignant Nancy et Brest, qui s'affrontaient, en ligue 2.

Des visages déçus côté troyen après la défaite à Valenciennes (1-2) et une reléguation à la clé. En Corse, c'est tout le contraire. Les sochaliens peuvent se féliciter d'avoir pris un point à Bastia et, du coup, leur billet pour la prochaine saison de ligue 1.

Troyes: symbolique de la saison

Cette dernière journée et cette défaite troyenne sont symboliques du reste de la saison des bleus. Perdant une vingtaine de point en fin de match, ils n'ont pas dérogé à la règle en s'inclinant une dernière fois à Valenciennes, et ce, après s'être battu jusqu'au bout. Car en première période, VA peine à produire du jeu. La seule alerte vient d'une tête de Ducourtioux s'échouant sur le poteau. Et Troyes, décomplexé, avait même ouvert la marque à la 10ème minute de jeu par Nivet, suite à un bon centre en retrait. On se dit alors que l'ESTAC peut réaliser l'exploit. Pas dominateurs, les troyens tiennent tout de même en défense grâce à la mauvaise forme de l'attaque valenciennoise dont il manque Pujol, resté sur le banc. Mais la seconde période va être tout autre. Les nordistes rentrent mieux des vestiaires que leurs adversaires et après une barre de Gomis, Jarjat marque contre-son-camp, symbole aussi d'une équipe malchanceuse cette saison. Mais un but troyen permettrait d'entretenir l'espoir. Malgré une belle frappe d'Othon repoussée par Penneteau, Pujol, après un caviar de Danic, crucifie Troyes, dans les derniers instants, qui rejoint la ligue 2.

Un beau jeu, mais beaucoup de points perdus et une inefficacité devant. L'ESTAC retrouve la ligue 2, un an après l'avoir quittée. L'an passé, Valenciennes envoyait Caen en D2, maintenant, c'est Troyes que les valenciennois achèvent.

Sochaux a eu chaud

Prenant un point miraculeux sur la pelouse de Bastia, Sochaux obtient son maintient lors de la dernière journée. Mais que ce fut dur, alors que Troyes a mené au score pendant 40 minutes à Valenciennes. Durant cette période justement, un but est refusé sévèrement à Choplin sur corner, qui aurait provisoirement relégué les lionceaux. Mais en défense, ils ont résisté de manière peu académique, mais résisté. Ils peuvent, au passage, remercié leur gardien, Simon Pouplin, responsable, en grande partie, du maintien des doubistes. Sochaux aurait même pu ouvrir la marque complètement contre le cours du jeu sur un coup franc de Boudebouz, s'écrasant sur la barre. L'image de la soirée, c'est aussi la blessure de Mickaël Landreau, remplacé par Bonnefoi au début de la seconde période.

Ce sont donc Troyes, Nancy et Brest, le trio perdant, qui s'en vont jouer en ligue 2 la saison prochaine. Il y a quelques années, les relégués remontaient rapidement en ligue 1, mais ce n'est plus le cas maintenant. En témoigne les trois promus en ligue 1, que sont Monaco, Nantes et Guingamp, des anciens de l'élite, mais pas des relégués de l'an passé.

Nico

Même si le temps ne fut pas super, la première journée de Roland-Garros 2013 laisse un bon présage pour la suite. Les français ont plutôt bien réussi leur entrée en lice dans le tournoi.

Le cri de soulagement de Gilles Simon après sa victore sur Lleyton Hewitt. Roger Federer, sans forcer, face à Pablo Carreno-Busta, expédié en trois sets.

Federer et S.Williams expéditifs:

Eux, ils n'ont pas traîné lors de leur premier jour. L'expérience de Roger Federer a fait la différence, alors qu'il n'a toujours pas remporté le moindre tournoi en 2013. Face à un jeune prometteur de 21 ans, l'expagnol Pablo Carreno-Busta, la tête de série n°2 s'est imposé en trois sets (6-2, 6-2, 6-3). Hyper régulier, le suisse n'a pas voulu perdre de temps ni de souffle pour atteindre le second tour. Serena Williams a fait de même. Impressionnante, l'américaine n°1 mondiale, a écrasé la géorgienne Tatishvili. Elle ne lui a laissé qu'un petit jeu (6-0, 6-1). Au second tour, elle retrouvera une française, Caroline Garcia.

Les français et les françaises en forme:

Gilles Simon a peiné face à l'ex-n°1 mondial, l'australien Lleyton Hewitt. En cinq sets, le français est venu à bout de son adversaire. Mené deux sets zéro, il a su aller chercher les ressources pour renverser la vapeur et l'emporter. Dans le cinquième set, il menait 5-0 avant de se faire rejoindre à 5-5 puis de l'emporter 7-5. Un premier match charnière pour Gilles qui devra hausser le niveau de son jeu. Pour Chardy, ce fut plus simple. Face à l'allemand Benjamin Becker, il lui a fallu 2h00 de jeu pour gagner en trois sets (6-4, 6-2, 7-5). Mickaël Llodra a, quant à lui, laissé un set à son adversaire, le belge Steve Darcis. Mais grâce à un service impressionnant, il l'emporte en quatre sets (6-4, 4-6, 6-1, 6-4). Au prochain tour, il devra faire face à un autre grand serveur, le canadien Milos Raonic, qui a éliminé un français, Xavier Malisse.

Pour les françaises, tout roule aussi. Caroline Garcia, 19 ans seulement, a balayé l'ukrainienne Yuliya Beygelzimer ( 29 ans) en 1h14 de jeu et deux petits sets (6-3, 6-4). 10 ans d'écart, qui ne se sont pas faits ressentir aujourd'hui. Comme dit un peu plus haut, elle affrontera la n°1 mondiale au prochain tour, Serena Williams, et croira tout de même au miracle. Virginie Razzano a, elle aussi, n'eu besoin que de deux sets pour se qualifier pour le second tour. Quoi qu'il arrive, c'est une française qui serait passée. Mais l'expérience de Virginie fut supérieure à celle de sa compatriote, Claire Feuerstein (7-6 [6], 6-4). Tombeuse de Serena Williams il y a un an, elle se retrouve au second tour où elle affrontera Kucova ou la française Julia Georges.

Demain, Roland-Garros revient sur France Télévisions. Un pur bonheur de regarder ce tournoi, si populaire en France.

Nico