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    C'est donc fait ! Voici l'édition prologue de NewsSport-Cars Magazine. Seul moi était au courant du contenu de ce projet et je vous en fais part aujourd'hui, en ce mercredi 18 février 2015. C'est un mensuel, vous en aurez donc un par mois. Dans quelques jours, je vous annoncerai l'équipe de la rédaction. Néanmoins, dans ce numéro prologue, pas de sport ou d'automobile comme vous pourrez en avoir l'habitude dans les prochains numéros, juste une présentation du projet et, pour la première fois, les détails de l'histoire de NewsSport-Cars. De l'humour, de l'émotion, j'espère que ce projet va vous plaire. 

     

    PS: si vous n'arrivez pas à télécharger le PDF, dîtes-le moi par commentaire et je vous enverrai la version Word par mail à condition que vous souhaitiez me transmettre votre adresse mail. N'hésitez pas à réagir !

    Pour lire l'édition prologue de février 2015: NewsSport-Cars Magazine

    Nico

    Couverture NewsSport-Cars Magazine février 2015


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  • Les 1/8ème de finale de la Coupe de France étaient dispersés entre le Mardi 10 février et le Jeudi 12 février 2015.

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    Le Red Star a mis en difficulté Erding et les siens dans une rencontre qui a réuni du monde en tribunes.

    *Red Star 1 St Etienne 2 : Un choc qui tient ses promesses

    Les jours précédents la rencontre, les supporters stéphanois se sont vus interdits de déplacement. Le Red Star évoluant d’habitude au stade Bauer a dû s’expatrier au stade Jean Bouin, stade plus homologué pour recevoir un 1/8ème de finale. A la sixième minute de jeu, sur un corner du Red Star, Sliti centre pour Bouazza. Le tir de ce dernier est arrêté par une superbe parade de Ruffier. Au quart d’heure de jeu, Allain sauve l’équipe parisienne sur sa ligne suite à une belle frappe de Nguemo. Trois minutes plus tard, Van Wolfswinkel reprend un coup franc et frappe du pied droit. Le néerlandais permet aux stéphanois d’ouvrir le score. A la 25ème minute, Ielsch est expulsé directement, le Red Star se retrouve en infériorité numérique. Trois minutes plus tard, suite à une longue ouverture, Bouazza reprend d’une volée du gauche et permet au Red Star d’égaliser. Peu après la demi-heure de jeu, Sliti lance Bouazza qui frappe légèrement au-dessus de la cage stéphanoise.  A la mi-temps, le Red Star tient en échec l’AS Saint Etienne. Mais à dix minutes de la fin du match, sur un centre de Mollo, Cros récupère malencontreusement et marque contre son camp. St Etienne mène de nouveau au score suite à un coup du sort. St Etienne poursuit son parcours en coupe de France tandis que le Red Star pourra se consacrer au championnat et à une possible montée en Ligue 2.

     *Monaco 3 Rennes 1 : le réalisme monégasque

    Monaco espère se rattraper suite à son élimination en coupe de la Ligue tandis que Rennes espère renouer avec la victoire. A la 8ème minute, Martial tente un centre tir mais Costil intervient. Une minute plus tard, Ferreira Carasco combine avec Martial. Les monégasques obtiennent un corner. Ferreira Carasco centre pour Touré qui ouvre le score pour Monaco, de la tête. Deux minutes plus tard, Wallace reprend un coup franc de la tête et de l’épaule et permet aux monégasques de doubler la mise. Peu après le quart d’heure de jeu, Ntep puis Toivonen sont tout près de réduire la marque. Une minute plus tard, c’est au tour de Pedro Henrique de perdre son duel face à Stekelenburg. A la 34ème minute de jeu, Danzé centre pour la tête de Pedro Henrique qui permet aux Rennais de réduire le score. A la mi-temps, Monaco mène 2 à 1. A la 57ème minute, Traoré lance Martial qui rate de quelques centimètres la balle de break. Quatre minutes plus tard, Ntep centre pour Doucouré mais le portier monégasque gagne son duel.  A la 67ème minute, Martial marque sur un pénalty et permet à Monaco de s’envoler. Deux minutes avant la fin du match, Ferreira Carasco est tout prêt de marquer un quatrième but mais Costil répond présent. Monaco continue son chemin en coupe de France, Rennes se consolera en championnat pour tenter d’acquérir une place en Europe.

    *PSG 2 Nantes 0 : Une victoire en une mi-temps

    A ce stade de la compétition, le PSG est toujours engagé dans les quatre tableaux. Nantes reste sur un exploit en coupe de France après avoir éliminé l’Olympique Lyonnais. Au quart d’heure de jeu, Thiago Motta alerte Digne qui centre en retrait pour Bahebeck mais Dupé gagne son duel pour Nantes. Quatre minutes plus tard, David Luiz tire le coup franc, Cavani l’intercepte de la tête et permet au PSG de mener au score. Peu avant la demi-heure de jeu, Bedoya intercepte un centre mais Douchez gagne son duel. A la 34ème minute, Van der Wiel tente de centrer mais Dupé repousse le ballon dans les pieds de Cabaye qui double la mise pour les parisiens.  A la mi-temps, le PSG mène 2 à 0 face aux canaris nantais. A la 77ème minute, la frappe des 25 mètres de Djilobodji est tout prêt de faire mouche mais Douchez résiste. Paris, grâce à sa victoire, reste en lice dans les quatre compétitions. Le PSG a réalisé une première mi-temps exceptionnelle avant de retrouver un jeu moyen, dans la seconde mi-temps.

    * Metz 0 Brest 0 (3 tab 4) : Au bout de l’ennui

    En 2015, le FC Metz reste sur cinq matchs sans victoire tandis que Brest reste sur une victoire en cinq matchs de Ligue 2. Au quart d’heure de jeu, le corner de Pelé parvient à Touré mais Carrasso stoppe le tir en deux temps. A la 23ème minute, Belghazouani intercepte un centre mais le portier messin le détourne en corner. Falette récupère de la tête le corner mais cette dernière n’est pas cadrée. A la mi-temps, le score est toujours nul et vierge. En début de seconde mi-temps, Pelé trouve la tête de Falette sur un coup franc mais Carasso répond présent. C'est ensuite au tour de Krivets de tenter sa chance des 20 mètres mais Hartock protège les siens. Le match se poursuit avec des prolongations suite au 0-0. A la 102ème minute, Choplin tente sa chance des 25 mètres mais Hartock capte la frappe. Il y a peu d’action de jeu durant la seconde période de prolongations. Le match va se terminer avec la cruelle séance de tirs aux buts. Choplin rate son tir au but tandis que Khaled réussit le sien et qualifie les Brestois, 4 tirs au but à 3. Brest poursuit son aventure en coupe de France ainsi que la course à la montée en Ligue 1. 

    Dans les autres 1/8èmes, Boulogne élimine Quevilly, tombeur de Bastia, au tour précédent, 2 à 0. Auxerre vient à bout du Poiré sur Vie, aux tirs au but (6à5), après un match nul 1-1.  Guingamp sort Yzeure, en prolongations, 3 buts à 1, après avoir été mené 1-0. Dans le choc entre équipes de CFA, c’est Concarneau qui bat Croix, 4 tirs aux buts à 1, après un match nul et vierge.

    Le tirage au sort des quarts de finale de la coupe de France, nous a réservé une finale avant l’heure, avec le choc entre le PSG et Monaco. Boulogne recevra l’AS Saint-Etienne, Guingamp se déplacera à Concarneau. Enfin Brest accueillera Auxerre, dans ce choc entre Ligue 2.

    Source photo (rmcsport.bfmtv.com)

    Matth


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  • Anto étant en vacances, je m'occupe exceptionnellement de cet épisode, celui de la 25ème journée, une journée qui a vu les trois équipes du podium être mises en échec. A l'autre bout du tableau, Metz s'enlise un peu plus tout comme Lens, tous deux défaits à domicile.

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    Grosse déconvenue pour le PSG qui est tenu en échec par Caen après un scénarion catastrophe: les parisiens ont fini à neuf et perdu quatre joueurs sur blessure, ici, c'est Aurier qui est à terre.

    Personne n'en profite

    Personne, mais alors vraiment personne. Vendredi soir, Marseille avait l'occasion de mettre la pression sur l'OL qui jouait deux jours plus tard en prenant la tête du classement. Surpris par Nicolas de Préville en début de match, les olympiens se sont redressés en seconde période grâce à Payet et Ayew. Mais à la dernière minute du temps réglementaire, l'ancien parisien David N'Gog a égalisé de la tête, mettant fin à la série de victoire des Phocéens à domicile. Pas de leadership provisoire donc pour les hommes de Marcelo Bielsa qui ratent le coche. Pire encore, Paris et Lyon peuvent creuser l'écart. Le PSG n'en profite cependant pas le lendemain contre Caen. En forme, les normands viennent arracher le point du nul au terme d'un scénario catastrophe pour des parisiens qui menaient de deux buts dès la pause après des réalisations d'Ibrahimovic et de Lavezzi. Au total, le club de la capitale perd deux points après avoir fini à neuf suite à quatre blessures dont Laurent Blanc se serait bien passé avant d'accueillir Chelsea en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions. Lucas, Aurier, Cabaye et Marquinhos manqueront à l'appel demain et ce sont Sala et Bazille qui ont permis à Caen de prendre un point précieux au Parc des Princes dans les dernières minutes. Finalement, revenait à Lyon le droit de prendre le large et quatre points d'avance en tête de la ligue 1. Mais c'était sans compter sur des lorientais joueurs qui ont tenu en échec leurs adversaires lyonnais. Clinton N'Jié, buteur contre Paris la semaine dernière, a répondu à Jordan Ayew, tout cela en seconde période. Saint-Etienne, pour qui le podium semblait perdu, pouvait revenir à cinq longueurs du podium. Encore une fois, c'est raté pour des Verts qui n'ont plus gagné en championnat depuis cinq matches. La spirale négative se poursuit en Gironde où les stéphanois se sont inclinés sur un but de Diego Rolan. Alors que Monaco-Montpellier a été reporté en raison des intempéries, tout reste à jouer dans la course pour la Ligue Europa.

    Dans le ventre mou de la ligue 1

    Six points derrière la quatrième place occupée par l'ASSE, Guingamp fait son nid, lui, l'irrésistible équipe de ces dernières journées. A Metz, les guingampais sont allés chercher un nouveau succès grâce à des buts de Mandanne et Pied. L'Europe est encore jouable pour des bretons qui recevront le Dynamo Kiev jeudi, en seizièmes de finale de la Ligue Europa. Ces derniers ont surtout profité des erreurs de Nice et Lille qui se sont quittés sur un score nul et vierge et de Nantes, battu à domicile par Bastia dans un match sans pour les canaris. Il ne reste que peu de temps à ces équipes pour basculer du bon côté et, pourquoi pas, pimenter légèrement la fin de leur saison.

    Lens et Metz déjà condamnés ?

    Cinquième en octobre, Metz a depuis sombré au point d'être actuellement lanterne rouge du championnat. Après leur défaite contre Guingamp, les grenats sombrent un peu plus tout comme Lens, un point devant mais dans une situation précaire après une nouvelle contre performance à domicile contre un concurrent direct au maintien, Evian TG, porté par sa nouvelle recrue, Mathieu Duhamel, auteur d'un doublé pour offrir la victoire aux hauts-savoyards. Cela se resserre donc entre la 18ème place et la 15ème place puisqu'aucune des équipes occupant ces places n'a perdu. Caen a tenu en échec le PSG, Lorient a fait de même contre Lyon et Toulouse a battu Rennes grâce à Trejo et Pesic. Si pour Lens et Metz, cela devient plus compliqué, l'ETG retrouve espoir et relance le suspens dans la course au maintien. Reims, qui a pris un bon point à Marseille, devra aussi faire attention même si les remmois ne sont pas les plus en difficulté. Nul doute qu'à treize journées de la fin, la tension commence à monter en bas de tableau.

    Source photo (leparisien.fr)

    Nico 


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  • Aujourd'hui penchons-nous sur le cas de l'AS Saint Etienne l'un des clubs le plus stable de la Ligue 1 sur les dernières années et qui compte une communauté de fan vraiment impressionante. Enquête sur la situation  de l'ASSE.

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    Mollo l'un des hommes de l'ASSE cette saison.
     
    Préambule : Club historique, 10 fois vainqueur du championnat de France, connu de tous par une musique et des poteaux qui l'ont rendu célèbre ; l'AS Saint Etienne est quasiment indissociable du paysage du foot français. Après des années compliquées les Verts se sont reconstruits pour devenir l'un des clubs les plus régulier de la Ligue 1 à la fois sur le plan sportif mais aussi sur celui des finances. Une stratégie et une image que l'ASSE cultive notamment avec son duo de président Romeyer – Caïazzo ou son système de «salary cap».
     
    "Trop tôt pour parler de Ligue des Champions".
     
     
    1- Bonjour Simon, depuis quand es-tu supporteur de l'AS Saint Etienne et quelle est la chose qui te rend le plus fier de ton club?
     
    Bonjour, je suis supporteur de Saint-Etienne depuis que je suis tout petit. J'ai tout d'abord commencé à suivre leurs matchs à la radio sur les ondes de RMC, puis depuis trois-quatre ans je ne manque aucune de leurs rencontres à la télévision.
    Une personne plus âgée que moi vous dirait qu'il est fier des nombreux trophées conquis dans les années 1970-1980, bien-sûr je suis également content, cela fait parti de l'histoire du club, mais n'ayant pas vécu cette période, je vois les choses légèrement diferrement. En revanche je suis très fier du parcours de l'équipe en Coupe de la Ligue il y a 2 ans conclu par le gain de la compétition.
     
     
    2- Comment as-tu vécu les années un peu difficile du club qui frôlé la relégation à plusieurs reprises?
     
    Je me suis beaucoup fait chambrer par mes amis, qui supportaient Lyon ou Marseille par exemple, deux équipes qui carburaient lors de cette période délicate pour les Verts mais cela ne m'a pas empêché de toujours suivre Saint Etienne et je ne suis pas déçu aujourd'hui !
     
     
    3- La renaissance des Verts est clairement associée à Christophe Galtier. Que penses-tu de lui, de son mode de fonctionnement et de sa manière de gérer le groupe?
     
    Christophe Galtier est tout simplement l'homme qui manquait à Saint-Etienne. Un entraîneur proche de ses joueurs tout en restant très professionnel. Il a su bâtir un groupes avec des joueurs cadres tout au long de l'année. Toutefois, je pense qu'il ne fait pas assez confiance aux jeunes. Les U19 de Saint-Etienne ont été deux fois de suite en finale de la Gambardella, ce qui mohtre le très bon centre de formation des Verts. Mais "Galette" a beaucoup de mal Allan Saint Maximin par exemple. Y'a t-il un trop écart entre la CFA2 et la Ligue 1 ? Je ne sais pas. Une chose est sûre Galtier n'a pas donné sa chance à Idriss Saadi qui évolue aujourd'hui à Clermont et plante but sur but. Malheureusement pour lui, sa saison s'est terminée suite à une rupture des ligaments croisés. Les Verts peuvent regretter ce choix de l'avoir vendu quand on voit le rendement de leurs attaquants au détriment de celui d'Idriss...
    Outre ses petits problèmes, l'entraîneur stéphanois est tout de même le grand artisan de la montée en puissance de Saint-Etienne ces dernières saisons et qui place les Verts parmi les meilleures équipes du championnat de France. Attention tout de même de ne pas faire la saison de trop pour lui.
     
     
    4- En 2013 l'ASSE remporte la Coupe de la Ligue, un titre longuement fêté par le club qui, depuis, semble vouloir s'appuyer sur ce succès pour construire un club dans une situation stable. Dans la même idée un lusée du club a été créé pour mieux transmettre les valeurs des Verts. Es-tu d'accord avec les mots du président Romeyer qui dit "Si on oublie le passé on a pas d'avenir" (tiré de France Football)?
     
    Sur ce coup-ci tu en sais plus que moi. Je n'ai pas entendu cette déclaration du président des verts mais oui je suis d'accord avec lui. Sans les dix titres glanés ou encore la finale à Glasgow, jamais il n'y aurai eu une telle ferveur stéphanoise. Le public est juste incroyable. A domicile comme à l'extérieur ! De nombreux fans font le déplacement lors de chaque rencontre hors de Geoffroy Guichard. Un grand atout pour les joueurs sur le terrain.
     
     
    5- On dit souvent que Saint-Etienne n'est pas une équipe "sexy" et qui marque peu de buts. Le spectacle proposé par ton équipe te gêne t-il?
     
    Cette année, c'est vrai que le rendement offensif est très pauvre. Mis à part Yoann Mollo de temps en temps, il n'y a pas ce joueur qui peut faire la différence à n'importe quel moment. Après si l'on regarde les dernières années je ne suis pas d'accord que l'on puisse dire ça. Saint-Etienne faisait parti des meilleures attaques de Ligue 1 il y a deux ou trois ans quand Aubameyang était toujours au club. Le trio Pierre-Emerick Aubameyang, Brandao et Yoann Mollo a fait beaucoup de mal aux défenses adverses. Il ne faut pas oublier non plus que Saint-Etienne est l'une des rares équipes à avoir mis Paris en difficulté sous l'ère qataris avec il me semble deux victoires et quelques matchs nuls.
     
     
    6- Si la régularité et la solidité de Saint-Etienne en fait une équipe très compétitive en Ligue 1, c'est beaucoup plus compliqué sur la scène européenne (éliminé en poule de la Ligue Europa cette année, sorti en barrage l'an dernier). Comment expliquer ces échecs?
     
    Ces échecs sont peut être dû à un manque d'expérience dans cette compétition mais il ne faut pas s'en remettre qu'à cela. Les Verts n'ont pas proposé assez de jeu cette année. Quelques fois désavantagés par l'arbitrage, les partenaires du capitaine Loïc Perrin avaient pour moi les moyens de se qualifier mais n'ont pas été assez tueur devant le but. Poussés par leur public, ils se devaient de gagner face à l'Inter par exemple mais encore une fois au vu de notre attaque cette année il ne fallait pas trop espérer. Un mal pour un bien à coup sûr. Les stéphanois n'auraient pas tenus toute l'année sur ce rythme de trois matchs par semaine. Ils peuvent aujourd'hui se concentrer sur le championnat et la Coupe de France.
     
     
    7- Concrètement que vise l'ASSE pour cette fin de saison, la C1 est-elle envisageable?
     
    Les objectifs sont d'ores et déjà définis : une qualification en Europa League et jouer la Coupe de France au maximum et remporter le trophée au Stade de France.
     
     
    8- En Coupe de France justement les Verts affronteront Boulogne sur Mer en quart de finale, j'imagine que les attentes sont très fortes de ce côté là, n'est ce pas?
     
    Bien-sûr. Arriver en quart de finale n'est pas rien. Auteur d'un match très moyen face au Red Star, les hommes de Christophe Galtier ont dû batailler jusqu'en fin de match pour se qualifier face à une équipe évoluant pourtant à dix pendant plus d'une heure de jeu et ayant le niveau National. La Coupe de France est un objectif clair a annoncé Galtier.
     
     
    9- Pour terminer qu'elles sont tes espérances pour le futur, à court et long terme?
     
    Cela me ferai vraiment plaisir si Saint-Etienne venait remporter la Coupe de France. Ensuite j'attends un retour d'Aubameyang à Sainté même si cela sera compliqué au vu du salaire de l'attaquant du Borussia Dortmund. Pour finir j'aimerai que les Verts aillent le plus loin possible lors d'une éventuelle Europa League l'année prochaine. Il est toutefois trop tôt pour parler de Ligue des Champions.
     
     
     
    Merci beaucoup à notre camarade stéphanois, Simon, que vous pouvez retrouvez sur Twitter : @El_Sim7 ! N'hésitez pas à laissez vos avis sur la saison de l'AS Saint-Etienne, à très vite.
     
    Anto.

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  • Premier débat de l'année 2015 avec aujourd'hui, le marché des transferts et le début de la saison cycliste alors que l'UCI prépare sa réforme qui ne fait pas autant de bruit que ça. 
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    Débattre c'est bien, ensemble c'est mieux !
     
    Football: un marché des transferts à différentes échelles
     
    Notre avis:
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    Martin Odegaard, la dernière folie du Real Madrid qui renforce les disparités entre les championnats.
     
    Nous avons pu apprécier un mercato d'hiver plutôt calme mais il révèle que les luttes au niveau financier et sportif sont totalement inégales autant entre deux championnats différents qu'au sein d'une même élite. Ainsi on peut mettre en évidence des classes de jeu opposées. En effet le foot business est une course au talent comme le montre l'arrivée de Martin Odegaard au Real Madrid. La jeune pépite de 16 ans a été achetée pour 3,5M plus bonus. Autant dire que la force de l'argent est quelque chose d’indissociable d'un mercato car le jeune norvégien est fan...du Barça. Mais avec la possibilité de signer au Real (et de toucher 3 fois plus que Pogba et devenir l'ado le mieux payé du monde) les clubs de cœur ne sont plus les mêmes... A côté de ça il y a des transferts qui nous paraissent moins froids, plus humains. C'est le cas d'André Schürrle et de Wolfsburg. Une histoire d'amour basée sur un projet qui donne de vrais résultats et qui respire le foot. Le passeur décisif de la fameuse finale contre l'Argentine a quitté Chelsea pour rejoindre les Loups tout comme l'avait fait De Bruyne l'an passé. Comme quoi il y a encore des transferts qui se font grâce à la passion. Puis il y a les recrutements efficaces, ceux dont les clubs ont réellement besoin. C'est le cas d'Evian. Les haut-savoyards ont effectué 30 mouvements depuis cet été (ce qui est un peu excessif quand même) et ont enregistré 6 arrivées cet hiver. Pour se sauver l'ETG a choisi le recrutement intelligent, basé sur des joueurs libres, des prêts, des échanges (Duhamel contre Benezet) ou des coups bien placés (Gilles Sunu recruté pour presque rien). Finalement avec peu d'argent on peut faire de grandes choses dans un mercato.
    La jungle des transferts n'est pas identique pour tous. Il y a les gros qui se disputent les joueurs à coups de millions tandis que certains créent des relations avec les joueurs et donnent des transferts qui, bien loin de résonner au premier plan de la scène du foot, sont peut être plus intéressants. Enfin, comme pour montrer que chacun se bat avec ses armes il y a les "petits" qui font de leur mieux dans l'intérêt de leur collectif.
     
    Cyclisme: 2015, le début de la transition ?
     
    Depuis quelques mois, je ne cesse de vous parler de cette réforme qui va légèrement bousculer le monde du cyclisme. Néanmoins, l'UCI se montre pour le moment discrète et recule la date de l'instauration d'une réforme dont la partie la plus importante n'est pas attendue avant 2017. Mais démarre-t-on pour autant une transition qui pourrait rendre cette saison moins attractive avant la solution nommée "réforme" ?
     
    Notre avis:
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    C'est parti pour la réforme ! Mais est-ce aussi le début de la transition ?
     
    C'est l'attente. En tous cas, pour l'instant, car le nouveau barème qui devait mettre fin au classement World Tour ne sera finalement pas mis en place cette saison. Les équipes de première et seconde division, au nombre de 24 d'après la reforme, se regrouperont dans une élite avec seize équipes en D1 et huit en D2. Tous les coureurs de cette élite pourront avoir leur chance dans un classement qui prendra en compte les 52 dernières semaines de course et qui sera actualisé toutes les semaines à l'instar du classement ATP au tennis. Ainsi, c'est la régularité qui primera ou du moins, ce que souhaite l'UCI. En attendant, rien, la saison 2015 ressemblera à la saison 2014 au niveau du règlement. On souhaite l'élite pour 2016 avec le système de promotion qui va avec mais la patience devra d'abord s'imposer. Mais qu'appelons-nous "année de transition" ? Ce serait une année assez ennuyeuse avec des courses non attractives et un désir assez net de passer à autre chose. Vous pouvez d'ailleurs vous en rendre compte lors des étapes de transition sur les grands tours, peu appréciées mais pourtant nécessaires et qui réservent parfois des surprises. Des surprises ? On espère en voir cette année, tout comme des classiques comme nous avions l'habitude d'en voir avant, pas ces courses d'attente qui se finissent par un sprint tout comme lors du dernier Liège-Bastogne-Liège, décrié par son scénarion très éloigné du thriller attendu. C'est le piège lorsqu'une réforme est attendue mais qu'il faut bien passer par certaines étapes pour y accéder au détriment du spectacle. 2015 restera-t-il dans les annales ? Nous ferons les comptes à la fin de la saison mais nul doute que les grands tours joueront sur l'attractivité d'une saison que l'on qualifiera d'étrange. 
     
    Source photos (espnfc.com; cyclismerevue.blogs.sudinfo.be)
     
    Anto et Nico

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