• Présentée en 2011, le concept i8 en avait étonné plus d'un avec son look de science-fiction, son système hybride très autonome. Aujourd'hui après la sortie de l'I3, la citadine électrique, BMW ose le coupé sport hybride et renoue d'ailleurs  véritablement à ce genre de carrosserie, disparue depuis la vénérable M1. 
     

    C'est une avant-gardiste, l'I8 BMW. Elle est l'une si ce n'est la première sportive Hybride (électrique+essence) de grande série! Mais ce détail pourrait paraître anecdotique si l'on s'attardait sur sa ligne: racée, sophistiquée, ultra sportive, elle en met plein la vue! Par rapport au concept car qui portait le même nom, on ne déplore aucun changements! 
     

    Le concept? Associer au bouillant moteur essence de la nouvelle Mini JCW (1.5l-231ch) un gros bloc électrique de 131ch qui lui permet de rouler 120km en mode tout électrique. La puissance cumulé atteint donc 362 chevaux. Le poids de l"auto est contenu grâce à une technologie de haut vol: Châssis moulé aluminium et structure de l'habitacle en carbone pour 1485kg sur la balance seulement pour un coupé de 4.69m! La consommation annoncée est de 2.1L au 100km. 
     

     Dans l'habitacle, il faudra s'accoutumer d'une position de conduite très basse. Bien qu'original, l'habitacle n'en est pas pour autant aussi futuriste que la carrosserie, on déplore même des commandes de BMW "classiques". 
    Rien à redire niveau finition et qualité. À 145.950€, la BMW i8 est chère mais ce tarif n'augmentera pas à cause d'une longue liste d'options, d'origine elle est très bien équipée. Le coffre, grevé par les batteries, est ridicule avec 154L. 
     

    Donnée comme un coupé 2+2, la i8 n'offre que d'anecdotiques places arrières, à la manière d'une Porsche 911.
     


    Notre avis: plus qu'une sportive hybride, la BMW i8 est un vrai saut dans le futur. Sa ligne intrigante, fascinante et sportive nous a séduit. Il n'empêche qu'à 145.000€, l'i8 n'est pas ce qu'il y a de plus bon marché dans le segment (je pense notamment à la Tesla Model S qui coûte environs 90.000€)! Il lui reste à séduire un public fortuné en quête d'exclusivité, de nouveauté, mais cela suffira t-il? 
     
    Hugo.G


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  • Née en 2005, en même temps que ses soeurs jumelles Peugeot 107 et Toyota Aygo, la Citroën C1 n'a franchement pas marquée les esprits. Impersonelle, rudimentaire pour ne pas dire rustique, elle fût progressivement surclassée par des rivales plus jeunes et plus moderne tels la VW Up, l'Opel Adam, la Fiat 500 ou Hyundai I10 pour ne citer qu'elle. Son seul argument restait son prix, inférieur à toute ces citadines très en vogue en ce moment. Pourtant 9 ans après son lancement en 2005, il s'en est écoulé pas moins de 780.000 exemplaires! Autant dire que son remplacement était primordial, pour ne pas dire vital pour la firme au deux chevrons!
    Plus distinguée que l'ancienne version, se démarquant clairement de ses deux clones également renouvelés (la 108 et la nouvelle Aygo) et bénéficiant de nouveaux moteurs 3 cylindres, la C1 a enfin les armes pour rivaliser avec une concurence de plus en plus féroce.
     

    Voici la nouvelle Citroën C1. Comparée à la précédente génération, celle-ci gagne fortement en personnalité. On remarque une calandre plus discrète qu'auparavant et des Optiques en deux partie rappelant le C4 Picasso. Globalement à première vue, les lignes et les proportions restent les mêmes et les chiffres le confirme, la C1 gagnant seulement 26mm en longueur. Concernant le style, la C1 propose quelques éléments de personnalisation comme des teintes bicolores mais rien d'extravagant, ce qui n'est pas plus mal. La petite française propose également en option une version Airscape (comprenez découvrable) qui colle parfaitement à l'image "fun" du modèle. 
     

    La face arrière reste quasiment inchangée à part de nouveau feux plus épuré. Mécaniquement si la carrosserie est entièrement nouvelle, la partie liaison au sol et châssis reste inchangée, mis à part un tarage d'amortisseurs plus souple réduisant les sautillements de l'ancienne C1 à la moindre bosse et des barres et des barres antiroulis légèrement plus large (+8mm). Pour ce qui est des motorisations, la C1 limite le choix à deux moteurs essence: le premier, un 1000cm3 d'origine Toyota de 68ch condamnera la C1 au trajets urbain tandis que le second (un 1.2L PSA 82ch) restera le choix le plus sage si l'on veut profiter au maximum de sa voiture. 
     

    C'est dans l'habitacle que l'on attendait le plus de progrès, celui de l'ancienne C1 frisant l'indécence. Bonne surprise, malgré l'utilisation massive de plastiques bas de gamme, les assemblages sont sérieux et la petite Citroën se dote en plus d'équipements jusqu'ici indisponible comme la camera de recul, l'aide au démarrage en côte et l'accès et démarrage mains libres. Un écran central de 7" modernise l'habitacle, celui-ci intègre les fonctions de base (clim, radio...) mais pas de GPS, pour pouvoir en utiliser un il faut obligatoirement avoir un smartphone et le relier avec l'écran. Simple en théorie mais en pratique ça n'est pas convaincaint du tout (interface lent et 3G obligatoire durant le trajet..). 
    Le tarif quand à lui se contient sous les 10.000€ pour la version de base du 1.0L essence. Pour profitez de la version découvrable, comptez entre 1150€ et 1450€. 
     
    Notre avis:
    Grâce à un look plus affirmé et l'utilisation de mécaniques moderne, la petite citadine Française s'offre une véritable cure de jouvence. Même constat à l'intérieur qui prend un sacré coup de jeune! Dommage que certains aspects aient été négligés comme l'écran tactile sans GPS ou la boîte de vitesse à l'étagement trop long. Bonne nouvelle, le prix reste contenu.
     
    Hugo.G


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  • Longtemps absent du secteur des petits crossovers compact, Mercedes à laissé la part belle à ses éternels rivaux premium, allias Audi et BMW, dont les petits 4X4 Q3 et X1 inondent le marché avec un succès isolent. Le nouveau Mercedes GLA tente de remédier à cela. Sorte de Classe A surélevée et adaptée au escapade hors bitume, le GLA entend se tailler une grosse part de ce marché juteux. 
     

    Voici le GLA. Comme son esthétique en atteste, il possède un étroit lien de parenté avec sa petite soeur la Classe A, à commencer par sa ligne agressive, ses traits tendus, son dessin sportif et sa calandre massive. Surélevé par rapport à la berline, encore plus dans cette version 4matic, Le GLA en impose... dans le bon sens! C'est une réussite, incontestable. On lui reconnaît même une certaine personnalité dans les détails qui le distingue malgré tout de la classe A.
    Seule critique à formuler au niveau de la carrosserie: elle est très mal protégée, c'est d'autant plus que le GLA se veut être un vrai tout chemin. 
     

     Assez similaire à celle de la Classe A, la poupe se distingue néanmoins par l'ajout de boucliers censé protéger la carrosserie en cas de choc. Assez à l'aise en terrain (relativement) accidentés, surtout en 4 roues motrices, le GLA sait se montrer polyvalent à l'occasion, même si son champ d'action se limitera surtout à l'autoroute et au agglomérations. 
     
    Côté motorisation, on retiendra surtout la version diesel 220 CDI de ch, plus apte que la version d'entrée de gamme à tracter les quelques 1.6 tonnes de la bête. Une version 45 AMG sera disponible sur le GLA, qui vera ainsi sa puissance passer à 360 chevaux. 
     
    Identique à celui de la Classe A, l'habitacle respire le dynamisme. On lui reprochera surtout sa profusion de boutons, qui pénalise son ergonomie ainsi que la position de son écran GPS mal intégré, qui semble accroché à la planche de bord. 
    Face à celui d'un Audi Q3, la finition est légèrement en retrait même si tout est relatif. L'habilité est dans la moyenne, sans plus.Ddeux adultes se sentirons un peu à l'étroit sur la banquette arrière. Comme sur beaucoup d'allemande, la cinquième place est purement symbolique. 
     
    Au niveau du tarif, même si la version d'entrée de gamme reste atractive (30.900€), les prix grimpe très vite et cette version 220 CDI 4matic équipée entre autre de jantes alu 19', d'un intérieur cuir, d'un toit panoramique, projecteurs bi-xénon, etc, est proposée au prix de 49.500€! Pour la version AMG, (même si les tarifs officiels n'on pas encore été révélés) tablez sur environ 56.000€. 
     
     
    Notre point de vue:

    Crossover qui manquait cruellement à Mercedes, le GLA marque la troisième évolution de la Berline Classe A (après le CLA ndlr). Pratique et très réussi esthétiquement, il devrait séduire la clientèle de la marque, et qui sait peut être supplanter l'Audi Q3 ou le X1 BMW. Un vrai coup de coeur de la Rédaction. 

     

    Hugo.G


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  • Le lancement de la 208 apporta un souffle nouveau à Peugeot, tant au niveau stylistique qu'au niveau mécanique, grâce entre autre à l'apparition d'une nouvelle génération de moteur 3 cylindres inédit et dans l'ère du temps. Une nouvelle gamme Peugeot était donc a prévoir.
    C'est donc très logiquement que la vieillissante 308 (qui n'était en fait qu'une évolution de la 307) fût remplacé par... La 308! Ne nous méprisons pas, le nom est le seul élément commun au deux voiture, la seconde génération visant bien plus haut que la première. Pour concurrencer la référence du segment des berlines compacte, allias la VW Golf, La firme sochallienne a mis le paquet: au programme, un remaniement profond du style et de l'intérieur, l'objectif étant de séduire. 
    Article Hugo.G, pour NS-T auto
     

    Voici la Peugeot 308, de deuxième génération. Ce nouvel opus n'a plus rien a voir avec le précédent, a commencer par son design, moderne, plus agressif, assez élégant. La face avant adopte de nouveaux phares a LED, ainsi qu'une calandre flottante sur le modèle de la 208. Le résultat est homogène, et très joli a regarder.
     

     Même impression vu de l'arrière, on remarquera les feux boomerang (presque identique a ceux de la 208) ainsi que des flancs sculptés. Le gabarit de cette seconde génération de 308 est a la baisse de quelques centimètres par rapport a la première, mais l'habitabilité reste comparable et le coffre gagne même 40 dm3, grâce au sacrifice de la roue galette au profil de kit anticrevaison. 
     

     Grâce a l'utilisation d'une toute nouvelle plateforme EMP2 inaugurée sur le C4 Picasso, la 308 bénéficie d'une perte de poids de 140 kg, ce qui profite au performances (10.2s au 0 à 100 km/h en version HDI 115ch)  et à la consommation, réduite à environ 5l/100km en cycle mixte. Le comportement routier est en progrès par rapport à la précédente génération: la voiture est moins pataude, et elle bénéficie d'un très bon châssis. 
    Proposé à 17.800€ en version acess VTI 82ch (clim manuelle, GPS, régulateur/limiteur de vitesse...) la 308 s'affiche a quelques euros près au tarif d'une Golf! 



    Un soin particulier a été apporté à l'habitacle. Fini les boutons a profusion, et la qualité médiocre de l'ancienne version, la nouvelle 308 joue la carte des allemandes, et met l'accent sur la fonctionnalité et surtout l'originalité, point qui fait défaut au homologue d'outre-Rhin et dont la Française entend profiter. Le petit volant, dérivé de la petite 208 ne gène ici pas la lisibilité des compteurs, qui ont été surélevés. L'écran tactile central permet de supprimer un nombre important de boutons, et par la même occasion d'alléger la planche de bord. L'emploi de matériaux de qualité et la finition rigoureuse parachève ces aspects pratique, même si quelques revêtements moins flatteurs se cachent vers les contre-portes par exemple. 
     
     
    Notre point de vue:
    Ainsi paré la nouvelle 308 n'entend plus faire de la figuration sur le marché Européen. Grâce à un style dans l'ère du temps, une qualité de finition en net progrès et à une certaine originalité par rapport à la concurrence, la Sochallienne veut se tailler la part du Lion, et part la même occasion titiller la Golf, référence en la matière. 
     
    Hugo.G
     


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  • Lancé depuis déjà presque 4 ans, en Février 2009, la DS3 fût une véritable bouffée d'oxygène pour Citroën. Pétillante, colorée et fun, elle a tout de suite séduit les foules et a contribué à redonner au constructeur Français une image jeune et dans l'ère du temps, image dont Citroën avait grand besoin.
    Ne nous leurrons pas: il s'agit tout simplement d'une C3 recarrossée, mais c'est justement cela qui permettra à la DS3 de devenir en très peu de temps la reine des beaux quartiers.
    Un an plus tard, en 2010, Le constructeur frappe fort en lançant la plus radicale des DS3: la Racing. 202ch et un châssis affûte "au petit oignons". La rivale visée se nomme Mini Cooper S. le pari est osé, mais payant. 
    2 ans après, fin 2012, Citroën emboîte enfin totalement le pas à la Mini Cooper, en dévoilant à Genève une version Cabriolet de sa DS3.
    Petit essai de la rédaction, avec l'équipe NS-T auto!
     
    Voici la petite DS3 cabrio, le seul cabriolet dans la gamme Citroën à l'heure actuelle. Concernant son style, on le connait, c'est celui de la DS3 "classique". Malgré tout, on ne peut réprimander un petit sursaut d'admiration en l'admirant, 4 ans après son lancement. La ligne est fluide et la calandre très homogène. Les petites nervures sur les flans et les ailes av/ar lui confère même un petit côté sportif, sublimé par une superbe peinture matte. Que rêver de mieux? 
     

    Vu de côté, on s'aperçois vite de la "supercherie". La DS3 n'est en fait pas un vrai cabriolet, c'est une version décapotable, ou les montants latéraux reste en tôle. La capote est électrique. Peu importe, cela n'arrive pas à gâcher son côté chic, et surtout le plaisir de l'heureux(se) propriétaire qui goûtera au charme de la petite française, cheveux au vents!
     

    L'intérieur de la DS3 cabrio reste moderne et très fonctionnel malgré 4 ans d'âge. Le tableau de bord est personnalisable avec différente couleurs. Bien construit malgré quelques plastiques trop dur, l'habitacle ne déçoit pas. Seul bémol: le GPS, l'antique MediaNaV, peu pratique et très lent ne se montre pas à la hauteur de la voiture, qui, elle, se montre tout sauf pataude grâce à des motorisations soignées: en Diesel, la nouveauté viens du 3 cilyndres de la C3.
    Peu démonstratif, il détonne dans une DS à vocation fun. Les sportifs ou les citadins plus pressés lui préférerons le bon vieux 1.6THP (essence) 156ch. Vif et plaisant à utiliser, il ne consomme pas trop (7,4l/100km) ce qui ne gâche rien. 
     
     
    En bref, la Citroën DS3 cabrio se place sur un segment convoité: celui des petit cabriolet urbains. Malgré quatre ans d'âge, elle reste plus que jamais dans l'ère du temps et ne semble pas avoir pris une seule ride. Cette version cabriolet prouve que Citroën ne compte pas ranger la DS3 dans les cartons!
     
    Merci à tous!
    Article et photos Hugo.G
     
     


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