• Assez peu médiatisés, la Brussels Classic et le GP de Fourmies sont pourtant des rendez-vous de début septembre qui attirent des têtes d'affiche du peloton. Entre autres cette année, Arnaud Démare, André Greipel et Giacomo Nizzolo étaient présents. Mais les Lotto ont tout écrasé.

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    André Greipel devance san trop de soucis Elia Viviani (Cannondale) et Arnaud Démare (FDJ.fr) à Bruxelles.

    Greipel et Van Genechten portés par leur équipe

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    Les sprinters sont rois sur les deux classiques qui réunissaient du monde ce week-end en Belgique. Les baroudeurs ne sont pas les bienvenus et si certains tentent de partir de loin croyant fausser compagnie aux équipes de sprinters, celles-ci sont là pour rappeler que leur leader et personne d'autre doit ravir la victoire. Ce week-end, cela a encore été prouvé car les sprinters ont eu ce qu'ils voulaient, deux sprints massifs. Le premier d'entre eux, lors de la Brussels Classic, a été dominé par André Greipel, bien placé et emmené par ses coéquipiers. Tenant du titre, le champion d'Allemagne 2014 n'a pas déçu malgré une disette de deux mois et sa victoire à Reims pour le compte de la sixième étape du Tour de France. Devançant Elia Viviani et le français Arnaud Démare, il remporte ainsi son 14ème bouquet de la saison. Le lendemain, aujourd'hui donc, les sprinters étaient de nouveau les favoris pour la victoire du jour. Mais tout n'a pas été si parfait. Si l'échappée du jour n'a pas posé de problème en étant reprise à 16 kilomètres de la ligne, les attaquants étaient inspirés en fin de course dont Sylvain Chavanel qui a malheureusement capitulé avec Bartosz Huzarski sous la flamme rouge. A Fourmies, encore une fois, les sprinters ont dominé le reste du peloton et André Greipel s'est même permis de laisser la victoire à son coéquipier, Jonas Van Genechten, prouvant la domination totale de la Lotto-Belisol ce week-end. Le belge devance Tom Van Asbroeck et Elia Viviani et succède au français Nacer Bouhanni alors qu'Arnaud Démare n'a pu faire mieux que treizième. Le premier français est par ailleurs Benjamin Giraud du team La Pomme-Marseille. Et oui, les sprinters sont cruels et on en oublierait presque le nombre interminable de côtes qui jonchaient le parcours des deux épreuves...

    Source photos (lequipe.fr, @CharlesDewolf)

    Nico


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  • Le triptyque montagneux prévu ce week-end et demain n'a pour l'instant pas vu les favoris se détacher. Néanmoins, il a permis aux attaquants d'être récompensés: Hesjedal et Niemiec ont pu lever les bras.

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    La joie, plutôt mesurée, de Ryder Hesjedal qui en finit avec l'inédite montée de la Camperona et ses passages à plus de 15%. Après deux années compliquées, c'est un sourire retrouvé pour le canadien de la Garmin-Sharp.

    Hesjedal, la revanche d'un canadien

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    Depuis son triomphe sur le Giro en 2012, Ryder Hesjedal a disparu de la circulation et c'est son coéquipier Dan Martin qui a pris le relais. Mais hier, le canadien de la Garmin-Sharp a remis les pendules à l'heure, retrouvant ses qualités entrevues il y a deux saisons. Dans la très redoutée montée de La Camperona, il a été le plus fort dans les pourcentages les plus élevés (jusqu'à 19% ndlr) pour surclasser ses compagnons d'infortune. Au départ composée de 23 coureurs, l'échappée a vite été réduite dès les premières pentes de la journée sous l'impulsion de deux coureurs de la Caja-Rujal dont Luis Leon Sanchez. C'est finalement une dizaine de coureurs qui se présente devant la dernière ascension du jour, inédite, et son mur dans la deuxième partie. Si Yannick Martinez effectue un gros boulot, Romain Sicard n'en profitera pas, n'ayant pas les jambes pour lâcher ses partenaires. Oliver Zaugg décide alors de partir seul dans une attaque fulgurante, tient bon mais voit Ryder Hesjedal revenir comme une balle pour le déposer à 200 mètres de la ligne, mettant fin à un final époustouflant. Après avoir terminé deuxième de la 7ème étape remportée par Alessandro De Marchi, Hesjedal retrouve le goût de la victoire. Dans la lutte pour le maillot rouge, Chris Froome a récupéré six précieuses secondes sur Contador mais ce sont Rigoberto Uran, qui sort du podium, et Alejandro Valverde, malgré une attaque, qui sont les perdants du jour en concédant du temps. Au classement général donc, Alberto Contador garde la tête devant Valverde et...Chris Froome, "petit" nouveau sur le podium.

    La Pologne en fête

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    Décidément, la Pologne est en forme cette saison. Après l'éblouissant Tour de France de Rafal Majka suivi de sa victoire sur le Tour de...Pologne, Przemyslaw Niemiec a levé les bras aujourd'hui sur la 15ème étape de la Vuelta 2014. Alors que Winner Anacona avait offert à la Lampre sa première victoire de la saison, le polonais de 31 ans n'a pas tardé pour permettre à l'équipe italienne de respirer. Aujourd'hui encore, les attaquants inspirés du jour ont eu la bonne idée de sortir du peloton dès le début de l'étape ou pas. Car ce même peloton était très nerveux ce matin après le départ d'Oviedo, ville natale de Samuel Sanchez. Finalement, ce sont cinq hommes qui ont réussi à fausser compagnie à ce peloton pour prendre rapidement une avance confortable. Après une arrivée inédite samedi, la Vuelta retombait dans le classique aujourd'hui avec, pour la 18ème fois de son histoire, une arrivée aux Lacs de Covadonga. Przemyslaw Niemiec imita donc nombre de ses prédécesseurs vainqueurs en étant issus d'une échappée au sommet de cette ascension classée en première catégorie. Mais le polonais a eu chaud: il s'impose en costaud avec cinq secondes d'avance sur Valverde et Rodriguez alors que Contador arrive à 10" et Froome, à 17". Statut quo donc sur le podium où l'on retrouve les mêmes coureurs que la veille. Encore une fois, l'échappée fut la bonne aux Lacs de Covadonga et les favoris se sont neutralisés dans une poignée de secondes. A noter que Warren Barguil, très entreprenant aujourd'hui, a réintégré le top 10 du classement général toujours dominé par le très prudent Alberto Contador qui a contrôlé ses concurrents aujourd'hui.

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    Quid de demain ? Dernière journée du triptyque montagneux de ce week-end prolongé à lundi. Avant la journée de repos bien méritée pour les coureurs, ou du moins les rescapés car le peloton diminue de jour en jour, la 16ème étape de cette Vuelta 2014 offrira aux attaquants la possibilité d'aller chercher un bouquet à moins que les favoris et leurs équipiers n'en décident autrement comme aujourd'hui où la victoire de Niemiec s'est jouée à un fil. Demain est donc la journée de tous les risques dans une étape que tous les observateurs ont désignée comme l'étape reine de ce 69ème Tour d'Espagne. Entre San Martin del Rey Aurelio et la Farrapona Lagos de Somiedo, le peloton devra avaler cinq cols dont quatre de première catégorie. L'ascension finale, la Farrapona, n'est pas dure mais elle est longue et elle devrait faire mal par son irrégularité. La deuxième partie, beaucoup plus compliquée que la première, sera la cerise de cette 16ème étape où les favoris pour le maillot rouge ne devront pas se cacher. Si le nom du probable vainqueur final ne devrait pas encore être connu demain, il y aura peut-être voire sans doute un grand perdant.

    Source photos (lavuelta.com)

    Nico


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  • Avant de s'attaquer à un triptyque montagneux décisif dans la lutte pour le maillot rouge, les coureurs avaient rendez-vous avec deux étapes de transition, une remportée par l'inévitable John Degenkolb, et l'autre remportée sans modération par l'espagnol de la Cofidis, Dani Navarro.

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    La joie éclatante de l'espagnol Dani Navarro qui offre à la Cofidis sa première victoire WT depuis trois ans sur la treizième étape de la Vuelta 2014.

    La passe de trois pour Degenkolb

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    Jamais deux sans trois, on ne le répètera jamais assez ! L'allemand John Degenkolb a remporté le critérium qui faisait office de douzième étape jeudi. Avec huit boucles autour de Logroño sans grimpeur répertorié, les sprinters étaient rois et il n'y a pas eu vraiment de surprise. Le seul fuyard du jour, Matthias Krizek, a été rattrapé dans la dernière boucle et les équipes de sprinters ont pu s'affronter. Mais à 800 mètres de la ligne, un événement est venu bouleverser la quête à la victoire d'étape, si rare sur ce Tour d'Espagne pour les sprinters. Une chute a cassé nette la dynamique du peloton qui s'apprêtait à boucler son huitième tour. Malheureusement, Nacer Bouhanni n'a pas été épargné et il n'a pas pu disputer le sprint. Non, jeudi, en fin d'après-midi, toutes les conditions étaient réunies pour que l'allemand de la Giant-Shimano, John Degenkolb, s'impose. Ce dernier n'a pas déçu en décrochant sa troisième victoire sur ce Tour d'Espagne, sa huitième au total sur les routes de la Vuelta. Il devance Tom Boonen et Giacopo Guarnieri qui n'ont pas pu lutter face à la puissance de Degenkolb qui peut encore décrocher une victoire avant la fin de cette 69ème Vuelta a España.

    La fierté Dani Navarro

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    La Cofidis ne traîne pas bonne réputation. Une équipe qui "gâche les talents" et pourtant, une victoire avec Dani Navarro. Arrivé en 2013, l'espagnol, ancien lieutenant d'Alberto Contador, était un espoir de renouveau pour la formation française. Cet été, lors du mercato, Didier Rousse a fait le ménage, se séparant de ceux qui n'ont jamais percé au sein de l'équipe malgré tous les espoirs placés en eux. Ainsi, Jérôme Coppel, Rein Taaramäe ou encore Christophe Le Mevel ont été priés de s'en aller mais pas Dani Navarro. Hier, sur ses routes, le leader de la Cofidis a brillé. Dans une étape réservée aux puncheurs et baroudeurs, il a su tirer son épingle du jeu pour s'en aller à deux kilomètres de l'arrivée, dans une bosse non répertoriée où il y a eu du mouvement, pour s'imposer en solitaire avec quelques mètres d'avance sur Dani Moreno et Wilco Kelderman. A noter que le seul sprinter rescapé du jour se nomme Nacer Bouhanni qui prend une surprenante cinquième place. Au classement général, Alberto Contador n'a pas été inquiété par ses concurrents qui se réservent sans doute pour le triptyque montagneux qui s'offre devant eux. Auparavant, malgré une étape qui leur était favorable, une échappée de onze coureurs a été reprise, les attaquants du jour se faisant avaler un par un par la tête du peloton longtemps dominée par la FDJ.fr. Au final, fierté pour la Cofidis qui n'avait pas vu un de ses coureurs lever les bras sur une course WT depuis trois ans, depuis la victoire de Rein Taaramäe sur le Tour d'Espagne 2011 trois étapes après celle de David Moncoutié. Dani Navarro met donc enfin un terme à cette disette lourde à porter pour la formation nordiste.

    Aujourd'hui, le peloton, ou du moins ce qu'il en reste, s'attaque à un triptyque qui va faire mal aux coureurs. A la sortie de cet enchainement, nous aurons peut-être déjà le nom du futur vainqueur ! En attendant, avec ce week-end montagneux prolongé jusqu'à lundi, veille de la deuxième et dernière journée de repos, la lutte pour le maillot rouge s'annonce intense. Lors de cette 14ème étape, ce samedi, trois cols sont au programme: un de deuxième catégorie, la Collada de la Hoz, suivi par deux de première catégorie, le Puerto de San Glorio, et la montée finale, La Camperona, longue de 8,3 kilomètres à 7,5% de moyenne et des passages à 19,5%. Vous l'aurez compris, de quoi faire frémir les grimpeurs-puncheurs du peloton qui seront évidemment les favoris du jour. Les coureurs sont déjà partis de Santander il y a un peu plus d'une demi-heure et arriveront à La Camperona Valle de Sabero vers 17h40.

    Source photos (lavuelta.com; eurosport.fr)

    Nico


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  • Alors que tous les organismes de l'équipe de France ne sont pas au même niveau, certains ayant repris plus tard que d'autres, les bleus se sont imposés contre l'Espagne dans un match de gala disputé hier soir au Stade de France.

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    La joie de Loïc Rémy, buteur, partagée avec le passeur, Mathieu Valbuena, et le public du Stade de France.

    La France confirme, l'Espagne doit grandir

     

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    Hormis quelques forfaits pour blessure, Didier Deschamps avait décidé d'offrir à tous les mondialistes ses remerciements après le convaincant Mondial 2014. C'était donc hier soir la rentrée pour lui et ses hommes qui affrontaient l'Espagne. Si le spectacle ne fut pas intense, la France s'est imposée pour la première fois depuis 2006 face à la Roja. La dernière fois, c'était en huitièmes de finale de la Coupe du Monde 2006 organisée en Allemagne. Cela faisait donc un moment que les espagnols, sur leur petit nuage de 2008 à 2014, nous dominaient. Mais pas seulement nous, le monde entier aussi. Puis il y a eu la Coupe du Monde 2014 et la chute brutale de l'Espagne suivie par l'annonce des retraites internationales de Xavi, Iniesta et Xabi Alonso. Vincente del Bosque avait donc décidé d'appeler de nouveaux visages, assez inconnus sur la scène mondiale, preuve que c'est désormais la nouvelle génération ibérique qui va prendre le relais de l'autre côté des Pyrénées. Hier soir, au Stade de France, elle a montré de la suffisance malgré un jeu de possession que l'on connait bien du côté de la Roja. Sans ses trois retraités qui étaient des cadres de l'équipe, elle a bien eu du mal dans la dernière passe. Au final, c'est l'équipe de France qui s'est imposée. Forte de son Mondial réussi, elle a battu sur le plus petit des scores son adversaire. Le spectacle n'était pas au rendez-vous, notamment lors d'une première période fermée. Tout s'est débridé lors du deuxième acte où Karim Benzema, à la conclusion d'une magnifique action collective, est proche de donner l'avantage aux bleus dès le retour des vestiaires. Mais l'arbitre assistant n'hésite pas à le signaler hors-jeu...alors qu'il ne l'était pas. Ce fait de jeu ne déstabilise pas une équipe de France beaucoup plus séduisante que l'Espagne et son jeu de possession plutôt stérile. A la 73ème minute de jeu, la sanction tombe, après une belle combinaison dans le coin gauche de la surface de réparation, Mathieu Valbuena sert en retrait le nouvel entrant et le nouveau Blues, Loïc Rémy, qui allume De Gea d'une frappe limpide du gauche en pleine lucarne. Cela fait 1-0 et si la France ne s'est pas montrée si brillante que cela, elle a su faire preuve d'efficacité et de solidité pour s'imposer face à la Roja qui a poussé en fin de match. C'est donc une rentrée réussie pour les hommes de Didier Deschamps qui se préparent désormais à jouer beaucoup de matches amicaux jusqu'en juin 2016 où la France aura rendez-vous avec son Euro.

    Des visages conquérents

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    Tout n'a pas été parfait, on le sait. Mais le plus important pour cette rentrée, c'était la victoire devant un public retrouvé. Certains ont repris plus tôt que d'autres, dont Paul Pogba qui n'a disputé qu'un seul match de championnat. On l'a vu, côté physique, certains n'étaient pas performants. Je pense qu'il faudra attendre la tournée d'octobre pour se rendre vraiment compte de la progression et ou de la régression des joueurs. Néanmoins, Didier Deschamps a constitué un groupe désormais inséparable et qu'il pourrait emmener à l'Euro 2016. Mais d'ici là, peut-être que d'autres talents tricolores auront fait leur trou dans cette équipe de France qui retrouve sa clarté d'antan. On fera une petite mention à la défense centrale Sakho-Varane qui a été très brillante hier soir, résistant aux assauts, rares mais présents, des espagnols. Je vous propose donc sans plus attendre de découvrir les notes attribuées aux français qui ont disputé au moins une mi-temps du match France-Espagne et je vous donne quant à moi rendez-vous très bientôt puisque dimanche, la France se déplace en Serbie.

    Les notes:

    Hugo Lloris: 6.

    Mathieu Debuchy: 6.

    Raphaël Varane: 8.

    Mamadou Sakho: 8. HOMME DU MATCH NS-C

    Patrice Evra: 6.

    Paul Pogba: 5.

    Blaise Matuidi: 6.

    Mathieu Valbuena: 7.

    Moussa Sissoko: 7.

    Karim Benzema: 5.

    Antoine Griezmann: 5.

    Source photos (tuxboard.com; eurosport.fr)

    Nico


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  • Après l'avis de Nico sur la crise que traverse l'OL, je vous propose moi aussi mon point de vue sur cette mauvaise passe des hommes de Hubert Fournier. Alors, grave ou pas ?

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    Un système bien maigre, beaucoup de blessés, un jeu apathique: à l'image de leur star Alexandre Lacazette, l'OL est pour l'instant en panne d'inspiration.

    L'Olympique Lyonnais est actuellement dans une mauvaise passe. 3 défaites de rang en championnat ainsi qu'une élimination en Europa Ligue contre le club roumain du FC Astra sont venues ternir le début de saison de l'OL. Le grand nombre de blessés, les déclarations du président Aulas et le manque de certitude au niveau du jeu inquiète le groupe et cela se ressent sur le terrain. Mais, c'est grave docteur ?
     

    Astra-OL_image-gaucheA Lyon il est bien loin le temps des 7 titres de Champion de France consécutifs. Depuis la fin de cette période les temps sont plus durs mais pas autant que cette année puisque l'OL réalise son pire début de saison depuis 25 ans. Adieu la Coupe d'Europe et bonjour la 17eme place. Cette situation est susceptible d'empirer dans les prochains matchs car Lyon reçoit Monaco avant d'aller au Parc des Princes face au Paris Saint Germain. Restons lucides, il ne faudra pas tirer des conclusions après ces deux matchs là mais au moment de la mi-championnat. Les faits sont là : l'OL n'est plus le même et il faudra se contenter du top 10 cette saison. La place d'avant dernier reléguable ne sera plus celle de l'OL dans 3 mois quand les nombreux blessés seront de retour et que la méthode Fournier sera assimilée. Alors, pas de trop grosse inquiétude pour l'OL, les grands clubs ne meurent jamais. De plus la perspective de l'arrivée du Stade des Lumières pourra permettre de relancer la dynamique d'ici deux saisons afin de pouvoir à nouveau viser le haut du tableau. Pour le moment l'Olympique Lyonnais doit survivre et accepter de ne plus être la grande équipe qu'il a été. C'est en quelque sorte une période de rotation, rien de grave mais c'est un cap à passer. 

    Source photos (mlyon.fr; lyoncapital.fr)

    Anto


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