• L'équipe de France olympique a battu son record de médailles glanées en une seule Olympiade. Jeudi fut une journée assez faste avec un triplé historique et une médaille d'argent qui ont permis à la France d'attraper les quinze breloques visées.

    Triplé français à Sochi
    (de gauche à droite) Arnaud Bovolenta, Jean-Frédéric Chapuis, Jonathan Midol: ce trio a fait la une des journaux après sont triplé historique en ski-cross.

    Un triplé historique

    imagesCA0WQ4AZJamais les français n'avaient réalisé pareille performance: scruter les trois places du podium. Après des séries excellentes où trois des quatre français accèdent à la finale, le canadien Brady Leman se retrouve seul, tel un intrus. La stratégie est claire, ne pas laisser de place au seul concurrent capable d'empêcher les bleus de réaliser un exploit historique. Deux des trois français se placent en tête tandis que le troisième voit Leman en troisième position. Mais ce dernier est coupable d'une terrible erreur sur la fin de parcours. Sa chute profite à Jonathan Midol qui prend la médaille bronze en arrivant en chutant. Devant lui, Jean-Frédéric Chapuis et Arnaud Bovolenta prennent respectivement l'or et l'argent. Les trois tricolores permettent à la France d'exploser son record de médailles aux J.O d'hiver. De quoi offrir une fin d'Olympiade tranquille pour l'équipe française olympique.

    Marion Martinod prend l’argent

    imagesCAN0E1MCElle avait pris sa retraite en 2006, mais quand elle a appris que le ski half-pipe était intégré aux J.O, elle a tout de suite foncé. Et cela a payé car Marion Martinod a réalisé un très bon premier run qui l’a presque assurée de la médaille d’argent. Derrière l’intouchable américaine Maddie Bowman, la française s’est calée en seconde position avec un deuxième run meilleur que le premier. La japonaise Ayana Onozuka complète le podium.

    La France se loupe, pas Bjoerndalen

    imagesCA3AD7R7Pour ce premier relais mixte de l'histoire des Jeux Olympique d'hiver, les français n'ont pas eu les ressources pour concurrencer une Norvège intouchable. Avec des tchèques portés par la toute récente médaillée d'argent de la mass-start, Soukalova, les norvégiens ont longtemps été accompagnés en tête jusqu'au coup du maître signé Bjoerndalen qui a parfaitement maîtrisé sur ses skis. Au moment de passer le relais à Emil Svendsen, la Norvège était déjà quasiment championne olympique. Mais le champion olympique de la veille sur la mass-start a pu réaliser une démonstration alliant vitesse et précision sur le tir et il a ensuite contrôlé sur les skis. Premier, le relais norvégien ne s'arrête pas dans sa quête aux médailles d'or. Bjoerndalen, 41 ans, va arrêter sa carrière en ayant accompli sa quête aux médailles, treize, un record désormais. Derrière, Moravec, dernier relayeur tchèque, a conservé la médaille argent presque acquise par Sukalova tandis que les italiens, emmenés par Hofer, ont pris la troisième place. Et à la septième place, Martin Fourcade, très malade, arrive, déçu sans doute, après deux relais féminins en-deça alors que les filles était en lice aujourd’hui.

    Maudits, ces français

    imagesCA8XZ87SQuatrièmes après le saut, les français partaient confiants dans ce Combiné Nordique grand tremplin par équipes. A dix secondes de la Norvège mais à 35 des allemands et des autrichiens, les quatre fondeurs tricolores n'ont malheureusement pas pu se frotter à un duo de tête vite rattrapé par un Magnus Moan en état de grâce. Durant toute la durée du relais, les français n'ont jamais été rejoints mais n'ont jamais pu prétendre à une médaille, se classant à la plus mauvaise des places, la quatrième et maudite place. Jason Lamy-Chappuis rentre donc en France sans avoir la moindre breloque. Devant, Joergen Graabak remporte le sprint final devant l'Allemagne et l'Autriche et offre la dixième médaille d'or à la Norvège.

    Quand ça ne va pas, ça ne va pas

    imagesCALQ3WQQMalheureusement pour la France, le relais féminin de biathlon a tourné court avant même le premier passage de témoin. Marie-Laure Brunet, pas du tout en forme, a fait un malaise vagal qui a contraint son équipe à l’abandon. Mais la française a passé un électrocardiogramme qui n’a rien révélé de grave et c’est le plus important. Devant, les ukrainiennes ont été les plus fortes. On ne les attendait pas, mais elles ont sans doute eu envie de l’emporter suite aux événements qui se sont passés récemment dans leur pays. Avec 26 secondes d’avance, elles s’imposent devant la Russie qui devance la Norvège de Tora Berger. Demain, place au relais masculin avec un Martin Fourcade bien présent.

    En bref

    imagesCA96C297Drame national en Russie avec l’élimination en quarts de finale de l’équipe de hockey russe face à la Finlande (1-3). Comme à Vancouver, l’aventure s’arrête là pour des russes maudits. Chez les filles, la finale a souri à des canadiennes menées 0-2 à trois minutes de la fin. Finalement, les américaines ont craqué et le Canada a arraché la prolongation pour s’y imposer (3-2) et prendre l’Or olympique. Le Canada, justement, a tout raflé en curling que ce soit chez les dames hier ou chez les hommes aujourd’hui. En ski cross, pas de triplé français mais nous avions la favorite, Ophélie David, en finale. Cependant celle-ci a chuté en finale et cela a profité aux deux canadiennes placées devant qui ont réalisé un doublé avec Thompson et Kerwa. La suédoise Anna Holmund a pris le bronze. En patinage artistique la « petite fiancée » de la Russie, Yulia Lipnitskaya, a craqué. La jeune russe de 15 ans et demi n’a pas résisté à la pression en chutant par deux fois sur le court et le libre. Elle prend la cinquième place et c’est sa compatriote qui a remporté le premier sacre olympique russe en patinage artistique. A 17 ans, Adelina Sotnikova s’adjuge le titre devant la médaillée olympique de Vancouver, la sud-coréenne Kim Yu-Na, qui avait pourtant réalisé un court excellent comme pour le libre. Ce titre est d’ailleurs très contesté dans le monde du patinage car une juge russe était présente dans le jury. En short-track, après le 1000m, le russe Viktor Ahn a pris l’Or olympique sur 500m et sur le relais. Un beau cadeau pour le pays qui l’a recueilli.

    Nico


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  • Mardi 18 Février et mercredi 19 Février on fêtait le retour de la Ligue des Champions et on peut dire que notre représentant français a brillé. Retour avec un peu de recul sur les premiers huitièmes de finale...

     

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    Paris était donc prêt.
     

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    Si après le match nul contre Monaco et les quelques erreurs comises dans les derniers mois (l'élimination contre Montpellier, le match difficile à Nantes ou le nul contre Lille) des doutes subistaient le Paris Saint Germain y a mit fin en 90 minutes. A vrai dire ce n'est qu'en 2 minutes que Paris a affiché sa claire envie en ouvrant le score par Matuidi. Ce dernier se bat deux fois pour récupérer le ballon et joue en triangle avec Ibra puis Verrati, lequel lui remet entre les deux défenseurs centraux et ça fait (déjà) 1-0. Le PSG est clairement surmotivé et le Bayer Leverkusen est surpassé, pris à froid, tête basse. Une claquette de Sirigu et une grosse occasion pour les parisiens plus tard, c'est un pénalty sifflé contre Emir Spahic qui permet à Zlatan de doubler la mise. Rien n'inquiète Paris qui va mette rajouter un troisième but avant la pause encore l'oeuvre du suédois, ce coup-ci c'est une frappe d'antologie que seul lui peut nous sortir. 3-0 à la mi-temps sur la pelouse du second du championnat d'Allemagne, qui vient certes de perdre contre Shalke et qui vit une période difficile mais tout de même, Paris impressionne. La seconde mi-temps est une partie de plaisir pour Paris qui va avoir le plaisir de la disputer à 11 contre 10 après le second carton jaune d'Emir Spahic. Yoan Cabaye entré en jeu va même participer à la fête en marquant le quatrième but d'une équipe francilienne monstrueuse. La partie s'achève sur deux enseignements : Paris sera en quart de finale nous pouvons déjà le dire et cette équipe fait parti du top 8 européen à côté des Bayern, Barça, Real, Milan, City, United, etc... 
     
    La bonne opération du Barça.
     

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    Aller battre la meilleure attaque du championnat d'Angleterre chez elle lors d'un huitièmede finale aller de Ligue des Champions, même quand on s'appelle le FC Barcelone, celà relève d'un gros coup. Pourtant c'est ce que l'équipe de Tata Martino, qui découvrait ce stade de la compétition, a réussi à faire. Le match a mit du temps a démarrer, offrant une première période dure à comprendre et extrémement tactique. Comme souvent en ce genre de cas, c'est un fait de jeu qui va débloquer la rencontre. Il s'agit d'un pénalty sifflé pour une faute de Demichelis sur Lionel Messi. La décision est logique mais la faute était-elle dans la surface? Toujours est-il que Demichelis est expulsé et que Messi transforme la sentence. Cette double peine va faire du mal à Manchester City, lequel va encaisser un second but signé Dani Alves dans les dernières secondes. Le score de 2-0 met City dans une très mauvaise posture alors qu'1-0 aurait encore pu faire espérer les citizens. On peut donc dire que l'on retrouvera Barcelone en quart de finale même si le match retour sera interessant à suivre vu que City n'a plus rien à perdre et devra tout tenter.
     
    L'Atlético fait mal. 
     

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    Selon les dire de Clarence Seedorf, l'AC Milan a réalisé le meilleur match de sa saison. Malheureusement celà n'a pas suffit puisque l'Atlético Madrid, génial premier exéquo de Liga BBVA, s'est imposé sur la pelouse des Rossoneri. Pourtant ce sont bien les locaux, pensionnaires de Serie A, qui ont montré les meilleurs intentions au cours de la parti, se créant même d'énormes occasions mais le réalisme et l'efficacité des Colchoneros ainsi que de leur buteur vedette Diego Costa a fait mal (1-0, 83'). Les coeurs italiens pourront quand même se réchauffer car la performance de leurs protégés a vraiment été d'une belle qualité. Les chances de qualification à Vincente Calderon sont très minces mais le staff milanais n'a pas abandonné. Diego Simeone et les siens, pourront se targuer de réaliser jusque là une saison parfaite avec un ticket pour les quarts de Ligue des Champions quasiment assuré mais aussi grâce au fait qu'ils sont encore en lice pour le titre de champion d'Espagne. 
     
    Le Bayern est souverain. 
     

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    Une composition revue avec Yaya Sanogo titulaire (punition pour Giroud, la question est posée), un pénalty manqué par Ozil et déjà, après 8 minutes, le match était mal embarqué pour Arsenal face au champion d'Europe et d'Allemagne en titre. Pourtant les 45 premières minutes se terminent sans but mais avec un nouveau pénalty manqué, celui d'Alaba. Sur cette action Arsenal a perdu son gardien (expulsé) et Cazorla (sacrifié pour l'entrée en jeu de Fabianski). Ouvrir le score n'est qu'une question de temps pour Munich qui marque à la 54è minute par Kroos. Logique, Arsenal qui subit a fini par céder. Et c'est ne pas encore terminé pour les Gunners qui vont encaisser un second but signé Muller. 2-0 score final, victoire emplement méritée pour des bavarois qui ont largement dominé une malheureusement équipe d'Arsenal (près de 80 % de possession de balle pour les Allemands à ce stade de la compétition!). Le suspens est plié même si l'an passé Arsenal s'était imposé à l'Allianz Arena, rappelons-le...
     
    Réagissez et donnez vos avis! 
     
    Anto.

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  • Avec cinq médailles en deux jours, les français ont réalisé de belles performances, égalisant le record de médailles de Turin et Vancouver. Pierre Vaultier, Martin Fourcade, Kevin Rolland et les géantistes Steve Missillier et Alexis Pinturault sont ces cinq médaillés.

    Géant hommes
    L'américain Ted Ligety remporte haut la main ce slalom géant. Mais derrière, Steve Missillier et Alexis Pinturault permettent à la France de glaner ces premières médailles en ski alpin.

    Pierre Vaultier a oublié sa blessure

    images[3]Après sa rupture des ligaments croisés antérieurs du genou droit le 21 décembre dernier, le français Pierre Vaultier voyait les Jeux de Sochi s'éloigner. Mais il a fait preuve de courage pour refuser l'opération avant les J.O pour pouvoir participer à l'épreuve de snowboard cross. Durant les séries, il n'a pas faibli, dominant de la tête et des épaules ses concurrents et c'est avec satisfaction qu'il arrive en finale accompagné de Paul-Henri de Le Rue, lui aussi victime d'un grave accident, il y a un mois, où il était même tombé dans le coma. Longtemps troisième, il fléchit pourtant dans l'avant-dernier virage où l'américain Alex Deibold en profite pour lui passer devant et lui chiper la médaille de bronze. Il y en a un qui ne faiblit pas, c'est Pierre Vaultier qui nous offre un très beau duel avec le russe Olyunin mais sur le dernier saut, c'est le français qui est devant et qui prend une médaille d'or inespérée mais méritée.

    Pour un souffle

    imagesCAZFQF6RC'est terrible pour lui, mais cette médaille d'argent a une saveur amere pour celui qui visait un triplé historique en biathlon, un triplé qu'a réalisé Darya Domracheva, et ce sera peut-être pour samedi mais en relais. Pourtant, Martin Fourcade a réalisé une course parfaite mais, parti avec trente autres concurrents, il n'a pas réussi à se défaire d'Emil Svendsen, avec qui il était suite au quatrième tir. Le tchèque Moravec les accompagnait mais il a été distancé par la suite et s'est contenté du bronze. Auteur d'une remontée extraordinaire puisqu'il est sorti seizième du premier tir, il s'est laissé surprendre par Svendsen qui l'a attaqué dans le dernier virage. Alors que l'on pense que le norvégien va largement dominer le sprint, Martin Fourcade s'accroche et revient. Le français donne tout et jette son ski pour essayer d'arracher l'Or olympique. Mais à la photo finish, on se rend compte qu'il manque cinq centimètres à Martin pour décrocher le Graal. Il doit se contenter d'un argent plus "gris" que "doré". Néanmoins, s'il n'égale pas le record de Jean-Claude Killy, qui lui a remis cette médaille, il devient l'athlète français le plus médaillé des Jeux d'hiver (trois médailles à Sochi, une à Vancouver).

    Kevin Rolland se contente du bronze

    imagesCATAJ0XIAlors qu'il visait l'Or olympique, le français Kevin Rolland a pris le bronze en ski half-pipe, nouvelle discipline aux J.O. Même s'il s'est dit déçu, on pouvait lire un sourire radieux lors de la remise des médailles. Parmis les douze finalistes, on dénombrait trois français mais deux se sont malheureusement loupés terminant loin, à la dixième et onzième place. L'américain David Wise, lui, a tenu son rang en prenant la médaille d'or. Le canadien Justin Dorey, premier suite aux qualifications, a raté sa finale, chutant par deux fois. Deuxième grâce à un premier run à 88,60 points, le français a eu peur après le deuxième run excellent d'un autre canadien, Mike Riddle. Troisième, il devient le premier médaillé de bronze de l'histoire des J.O d'hiver dans cette discipline. On regrettera juste les conditions dantesques.

    Le ski alpin français les tient enfin

    imagesCABPX4VRIl ne restait que qeulques occasions pour remporter au moins une médaille en ski alpin. Il n'y en a pas eu qu'une, mais deux. Derrière Ted Ligety, intouchable après une première manche quasi parfaite, Steve Missillier a longtemps cru à la médaille d'or voyant tous les favoris se casser les dents: Hirsher, Bank, Mayer, Simoncelli. Alexis Pinturault, lui aussi, n'a pas réussi à déloger son compatriote de la première marche du podium. Mais il s'en est parfaitement sorti en prenant la deuxième place à seize centièmes. Bank, cinquième au final, a confirmé les deux médailles françaises tandis que Ligety, avec 1,50 seconde d'avance sur Missillier, a contrôlé la deuxième manche pour s'emparer de l'or, la première médaille d'or américaine en slalom géant de toute l'histoire des Jeux d'hiver. Deux et trois, il manque juste Thomas Fanara, quatrième ex-aequo avec Mathias Mayer après la première manche, coupable d'une petite erreur dans le mur qui lui aura coûté le podium. Samedi, les français arriveront en position de force pour le slalom avec aussi Jean-Baptiste Grange. Ce sont les quatrième et cinquième médailles françaises en deux jours. Et nous espérons que cela ne va pas s'arrêter pour battre enfin le record de onze médailles.

    Nico


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  • Aujourd'hui, je vous propose de revenir sur ce qui s'est passé à Sochi ces derniers jours avant de revenir sur les belles performances françaises dans un autre article.

    Darya Domracheva mass-start
    Et de trois pour Domracheva ! Sans concurrente sur la mass-start, elle a pris sa troisième médaille d'or individuelle, un record.

    Domracheva dans l'histoire, Tina Maze ne s'arrête pas

    images[6]La biélorusse Darya Domracheva est entrée dans l'histoire lundi en devenant la première biathlète à remporter trois titres en individuelle. Auteur d'une performance encore une fois impressionnante, elle n'a pas été inquiétée par ses concurrentes pour s'adjuger l'or, son troisième titre à Sochi. Elle devance de vingt secondes la tchèque Soukalova et de 27 secondes la norvégienne Eckhoff. Anaïs Bescond, elle, a craqué lors de sa troisième session de tir où elle a commis trois fautes qui lui auront été fatales. La française prend une décevante onzième place. La Russie était une nouvelle fois à la fête lundi soir avec la victoire de la paire Alexander Zubkov-Alexey Voevoda, Zubkov, 39 ans et porte-drapeau de la délégation russe, en bob à deux. Ils devancent la Suisse et les Etats-Unis. En patinage artistique, la déception était grande pour le couple Péchalat-Bourzat, quatrième, pour ses derniers J.O. Trois couples ont été meilleurs qu'eux, les favoris américains Meryl Davis et Charlie White, les canadiens Tessa Virtue et Scott Moir, et les russes Elena Ilynikh et Nikita Katsalapov qui ont enflammé leur public. La journée de lundi s'est terminée par le relais en saut à skis. Nous avons eu droit à un magnifique mano à mano entre l'Allemagne et l'Autriche, mais ce sont finalement les allemands qui ont eu le dernier mot face aux doubles tenants du titre. Le Japon de Noriaki Kasai prend la médaille de bronze. Le lendemain, place au slalom géant féminin. Tina Maze n'a laissé de place à personne en remportant avec plus de huit dizièmes d'avance sur la seconde skieuse ce géant. Médaillé d'or de la descente avec la suisse Gisin, elle a réalisé deux manches parfaites pour prendre une deuxième médaille en or, devançant l'autrichienne Anna Fenninger, qui vient de remporter le super-G, et Viktoria Rebensburg. Anémone Marmottan, première française, se classe huitième. En super-combiné, Jason Lamy-Chapuis, pourtant cinquième du saut, n'a pas répondu présent sur les skis comme il y a une semaine. Il n'a rien pu faire face à la Norvège qui place deux coureurs sur le podium, Joergen Graabak et Magnus Moan. L'allemand Fabian Riessle prend la troisième place.

    Nico


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  • La 65ème saison de F1 s'annonce passionnante! 
    Au programme cette année, de nombreuses évolutions et nouvelles règlementation. L'apparition d'un nouveau moteur V6 à cylindrée réduite par rapport au V8 atmosphérique de la saison 2013 est l'évolution la plus marquante. De nouveaux Grand Prix vont aussi animer la saison 2014. 
    Petit récapitulatif...sur NS-T
     

     
    Cette année, de nouveau moteurs V6 turbo 1600cm3 remplaçeront les gros V8 atmosphériques. Pourquoi cela? Eh bien tout simplement par soucis d'économie de carburant. La monoplace embarquera ainsi 50 kg de carburant en moins, soit 100kg. Malgré leur plus faible cylindrée, il auront aussi l'avantage d'être plus robuste que les anciens modèles (5 blocs par monoplace pour toute la saison contre environ 7 huit cylindres). On notera la sortie d'échappement simple.
    La boîte de vitesse passera de 7 à 8 rapport dans les même soucis d'économie de carburant.
     
    En ce qui concerne les pilotes, nous pourrons bien sur suivre la saison de Romain Grosjean, qui promet de belle performances tout au long de sa deuxième saison chez les "ténors" de Formule 1. Malheureusement, le deuxième Français Charles Pic n'est pas retenu cette année dans son ancienne écurie, Catheram. 
    Autre départ, celui de Marc Weber, qui met un terme a sa carrière de pilote de F1 pour se consacrer a l'endurance, en devenant pilote officiel Porsche. Kimi Räikkönnen est quand à lui transféré de Lotus vers Ferrari. 
     
    Deux nouveaux grand prix animerons la saison de Formule 1: Le grand prix de Russie à Sochi, et le grand prix d'Autriche, qui revient après 11 années d'absence. Les grand prix D'inde et de Corée disparaissent ainsi de la saison. 

     
    La nouvelle saison 2014 du championnat du monde de Formule 1 s'annonce des plus interressante. Cette année, suivez là sur NS-T dans la rubrique "sport auto" c'est moi qui me chargerais de vous communiquer les résultats et les informations liées à ce sport. 
    Merci de votre fidélité et à très bientôt
     
    Hugo.G


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